** :hello:
:bounce: Mais qu’est-ce qui est le pire ?
Contrôler 10 personnes qui ont l’âge de boire pour rien ?
Ou ne pas le faire et prendre le risque qu’un mineur soit parmi eux ?
Si par contre il s’agit d’abus volontaires, c’est à sanctionner. Mais je ne pense pas que ça remette en cause l’existence de la police. :pfff: **
Comme je suis de ceux qui croient que la nature humaine n’est pas porté vers « le bien » je crois qu’il est nécessaire qu’il y’est une autorité pour que l’envie des gens n’ecrasent pas celles des autres. M’enfin ce n’est que mon avis ^^
Effectivement, une République sans police, c’est comme une maison sans ciment! Tant que y’a aps trp de vents, totu va bien, dès que ça bouge, tout s’écroule ;).
La police reste humaine et fait donc elle aussi des erreurs… c’est un des principes qui font la base de la démocratie : partager le pouvoir, mettre les décisions en commun pour prendre les bonnes :wahoo: . Et non pas suivre un « berger »… :heink: **
Dans certain cas la police est toujours la bienvenue( ex: lors des affaire de meurtre, d’enlèvement…) Dans ces cas quesquon ferai sans eux. Après des fois il vont un peu loin mais il faut savoir que sur la route il sont utile aussi imaginer sil ny avé pa de radar tout le monde roulerai vite et le taux d’accident de la route aurai fortement augmenté. il faut se dire aussi que si un membre de notre famille aurait vécu une des choses que j’ai cité vous serez bien content que quelqu’un trouve le coupable.
Un monde sans police? Mais vous êtes tarés!
Un monde sans police tout le monde s’entretue, mais bien sur c’est le rêve!
Nan mais y en a ça tourne pas rond dans leurs p’tites têtes [:diable-diabolique:7]
Des explications seraient la bienvenue. Je pense que la police est utile, c’est elle qui veille au respect des lois. Si personne ne respectait les lois, comment réclamer ses droits ?
« » L’ennemi de l’intérieur - dérives et dysfonctionnements de la police nationale
de Langlois-Alexandre
25 Novembre 2019
Qui peut nier qu’il y a des dérives et des dysfonctionnements au sein de la Police nationale ? Des exemples ? Un taux de suicide intolérable. Des violences policières contre les Gilets jaunes sans précédent. Le déni de ces exactions. Pourtant, l’ONU s’en est alarmé sur la scène internationale. Une police des polices organisée en contravention des engagements européens de la France.
Dans un dossier, elle a « sciemment truqué une procédure » où est cité un candidat aux élections présidentielles. Dernière péripétie en date ? Il y aurait « une potentielle destruction de preuves ». Nous pouvons ajouter l’affaire Benalla et tant d’autres révélant que la hiérarchie policière peut mentir et tricher, y compris en falsifiant les chiffres de la délinquance, et percevoir des primes stupéfiantes. Le réquisitoire est accablant, le règne de l’impunité doit cesser. C’est l’un des enjeux de ce livre : dévoiler ce qui se passe à l’intérieur afin que la société engage une réflexion collective sur sa Police nationale pour la réformer en conséquence. C’est un devoir de démocratie.
En effet, elle ne peut être laissée entre les mains de gouvernants qui l’utiliseront pour traquer « les ennemis de l’intérieur » selon leurs besoins du moment, car les policiers sont dépositaires de la force légitime au nom du peuple. Il y a urgence.