Leucémie ~ Tout est en ligne ~

**Salut, tout d’abord, je vous préviens : âme sensible s’abstenir. La fin est plutôt triste… Mais bon :wink:

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*:heart: Leucémie :heart:

:heart: Prologue :heart:

Je m’appelle Carrie Huston, à douze ans, j’ai été atteinte d’une leucémie. Pendant mon hospitalisation, j’ai été bien entourée de ma famille et mes amis. Je voulais vivre et pourtant…

:heart: Chapitre 1 :heart: :

-Papa ! Hurla Bryan.
-Oui ?

  • C’est Carrie, elle saigne du nez.
    On entendit les pas de mon père qui monté les escaliers en courant.
    -Qu’est ce qu’il c’est passé ?
    -Bah rien, on discuter et elle a commencer a saigner du nez, comme ça, d’un coup ! expliqua Bryan d’un air plutôt paniqué.
    -C’est… Ce n’est rien, essayais-je d’articuler.
    -Mets ta tête en arrière ma chérie, me dit mon père . Et toi Bryan, va chercher des mouchoirs, il y en a dans ma chambre.
    -Ok, j’y vais.
    Mon frère avait compris que s’il essayait de faire de l’humour ,comme a sa grande habitude, il se ferait réprimander . J’appréciais .
    -Papa, articulais-je, ça va, ce n’est rien, je saigne juste du nez.
    -C’est bizarre, rétorqua mon père, on ne saigne pas du nez sans raison. Tu es bien sure que vous ne faisiez que discuter ? Vous ne vous êtes pas battus ?
    -On ne se bat jamais papa, on se dispute, mais on se bat jamais, affirma mon frère.
    -Oui, c’est vrai, répondit mon père, pensivement.
    -Pa’, t’inquiète pour Carrie, elle saigne juste du nez, ça arrive à tout le monde, signala mon frère.
    -Pas sans raison, on ne saigne pas du nez sans raison, et tu parles correctement, s’énerva mon père. C’était rare que mon père s’énerve, depuis que maman était morte, il était génial. Je vais appeler tante Meredith, elle va nous aidés.
    -Papa, ce n’est pas la peine, je ne saigne plus, je vais bien, je t’assure.
    -Tu es sure ma puce ?
    -Oui papa.
    -Tu devrais peut-être t’allongée, on dîne dans vingt minute, je t’appellerais.
    -D’accord.
    Vingt minute passèrent. Elle passèrent si lentement, depuis la mort de maman, je ne pouvais restée sans rien faire. Je pensais tout le temps à elle, a la façon dont elle était morte. Un jeune alcoolique qui roulait trop vite et qui l’avait percutée. Elle elle roulée, doucement, et il est arrivé et il lui est rentré dedans, il n’est même pas mort, il s’est juste cassé le bras. Et il a eu quinze ans de sursis, à quoi ça sert de mettre une peine de 15 ans de prison, si ils n’y vont pas ? D’après le juge, à les inciter à ne pas recommencer. Enfin. Mon père m’appela pour manger. Quand je descendis, la table était mise, et le dîner servit dans les assiettes, alors je demanda :
    -Maman ?!?
    -Carrie ! S’exclama Bryan.
    -Bah quoi, la table…
    -Je sais, je ne sais pas pourquoi j’ai fait comme sa.
    -Dit grand frère, elle te manques ?
    -Carrie… Bien sûr qu’elle me manque, mais nous on est là. On va manger et l’on ne va pas parler d’elle.
    -Aller. Papa !
    -J’arrive, j’arrive.
    Il nous répondait de l’atelier de maman, elle était artiste. Il revint avec un petit chiot dans les bras.
    -Papa, c’est le chiot que j’ai vu à Animaux Land ?
    -À ton avis ? Tu veux le prendre ?
    -Au merci papa, oui donne-le-moi.
    Nous avions passé un magnifique repas. Nous cherchions un nom pour le chiot. Puis, vers le dessert, je me sentais mal :
    -Papa… Je… Me…
    Je perdis connaissance. Quand je me suis réveillée, mon père était au-dessus de moi, mon frère revenait avec un gant dans les mains, qui était, je suppose mouillé. Il le donna à mon père, qui me le posa sur le front. Je l’ai entendu dire, ça venait de loin, mais je l’entendais :
    -Elle saigne encore du nez. Va chercher un nouveau paquet de mouchoirs.
    -Papa ça va être le cinquième en vingt-cinq minute.
    -On ne va pas la laisser saigner Bryan.
    -J’y vais.
    Je ne voulais pas parler, je me sentais très mal. Je voulais me rendormir, quand je sentis douleur affreuse dans le genou droit, je criai. Mon père paniqua :
    -Qu’est ce qui ce passe ? Carrie ?
    -Mon genou, j’ai mal.
    -Bryan, ramène aussi de la glace.
    -J’arrive !
    On entendit la porte du congélateur s’ouvrir, Bryan récupérer des glaçons. Puis on l’entendit monter les escalier en courant.
    -Voilà, voilà, je suis là. Alors tiens les mouchoirs et la glace.
    -Merci Bryan, articulais-je péniblement.
    -Carrie, tu es réveillée. Alors sa va ? Dit mon père d’un air inquiet.
    -Bof.
    -Tiens le coup.
    -Ne t’inquiète pas papa.

:heart: Chapitre 2 :heart:

Cela faisait deux jours que j’avais eu mon malaise, je retournais au collège, j’avais raté une journée parce que mon père me l’y avait obligée. Je savais qu’Antoine et Alex allaient se moqués de moi, je les entendais déjà : « Ô, la pauvre, elle a fait un petit malaise, c’est vrai, la bonne excuse pour rater les cours. » ! Enfin, je retournais en cours, c’était déjà ça. Je ne supportais pas de rester seule à la maison. Les cours me changent les idées, depuis la mort de maman, je ne pouvais pas restée sans rien faire, pourtant cela faisait huit ans. Enfin dans le coup, je retournais en cours, avec mon frère sur le dos entre chaque intercours, mais c’était déjà 55 minutes toutes les heures tranquille. Ce jour-là, il y a juste eu le cours d’EPS qui s’est un peu mal passé, on faisait du basket, et je suis tombée après avoir mis un panier, et j’ai commencé a saigner, puis au bout d’une demi-heure, un bleu m’ait apparu sur la main gauche, ma douleur dans le genou est revenue, et je me suis mise a crier tellement j’avais mal. Antoine et Alex ont failli s’étouffés de rire. Mais le prof leur a dit d’aller dans la classe de Mme Ranger et de demander a Bryan de venir. Ils partirent en courant, heureux de pouvoir se rendre intéressants, auprès de notre classe et aussi de celle des troisièmes. Au bout d’une dizaine de minutes, ils revinrent avec mon frère, il se dirigea vers moi et me chuchota :
-Carrie, ça va ?
-J’ai mal, c’est mon genou, le même que la dernière fois.
-Carrie, tu recommences à saignée du nez.
-O non, ça ne va pas s’arrêter avant vingt minutes.
-Il faut que tu voies un médecin Carrie. Dit mon frères avec insistance.
-Tu parles comme papa.
-Carrie, penses-tu que ça va passez ? Demanda mon professeur.
-Pas avant dix minutes minimum, répondis, à ma place, Bryan.
-Je pense qu’il faut appeler un médecin, l’infirmière n’est pas la aujourd’hui.
Je recommença à crier cette fois, pas seulement a cause du genou, mais aussi d’une énorme douleur dans le poignet, ce n’était pas une simple douleur, celle-la venait de l’os, même l’intérieur de l’os. Mon cri ne manqua pas d’alerté mon frère qui pris son téléphone et, à ce que j’entendis de la conversation, appela mon père. Puis au bout d’un moment la douleur commença a s’estompée, je m’arrêta de crier. Mon frère me regarda et me dit :
-Une ambulance arrive, papa à appeler tante Meredith, et elle a dit que c’était mauvais tout ces signes, tu sais comme tante Meredith est médecin a l’hôpital, elle t’attendra là-bas.
-Bryan, je ne veux pas voir de médecin.
-Carrie, il faut que tu sois raisonnable.
-Bryan, j’ai peur.
-Carrie, je suis avec toi. Je reste avec toi. Et s’il faut que tu sois hospitalisé je resterai avec toi. Ne t’inquiète pas.
-Je t’aime Bryan.
Il me prit dans ses bras. Je sais comme ça avec le recul, on devait avoir l’air assez bête. Surtout devant deux des quatre classe de sixième les sixièmes B et les D (ma classe).
L’ambulance arriva au bout de cinq petites minutes, durant lesquelles la douleur dans le genou et le poignet était revenues. J’avais, pour cette fois, contenu mon cri ce qui faisait que je gémissais, ça avait fait rire Alex mais Antoine lui avait mis une belle gifle. Je regrette que Meg, ma meilleure amie, ne soit pas dans le même collège que moi. L’ambulance arriva. Un médecin vint vers moi. Il me souri et me dit :
«-Tu n’as pas l’air bien mal-en-point petite.
-C’est parce que là, elle s’empêche de crier, intervint Bryan.
-C’est vrai ?»
Je lui fis un signe de tête qui me fut fatal, je me mis a crier pendant deux seconde avant de réprimander mon cris. Le médecin perdit son sourire, et demanda au professeur ce qui c’était passé. Le professeur partit de mon magnifique panier (en passant par le chapitre : « elle est très douée au basket-ball… »). Jusqu’au moment où ils étaient arrivés (en passant par le chapitre : « elle a dit a son frère qu’elle l’aimait… »). Le médecin prit un air sérieux qui, je dois dire, n’était pas imaginable avec le sourire qu’il avait quand il était arrivé, je n’arrive pas à croire qu’on puisse sourire en étant médecin et en étant en service, si on bosse a la maternité d’accord un jolie bébé qui vient au monde c’est magnifique, mais aller dans un collège pour une jeune fille qui a fait un malaise non, on ne sourit pas, mais bon il y a des gens bizarre partout, on y peut rien. A la fin du récit de mon prof de sport, il déclara a ses collègue qui attendait patiemment à côté de leur brancard :
-On l’emmène John, va préparer de la morphine.
Le supposé dit John parti sans broncher. Puis le docteur me demanda :
-Veux-tu que ton professeur t’accompagne ?
-Non, je veux mon frère avec moi. Bryan ?
-Bien sur Carrie que je viens avec toi.
-Bien, alors venait garçon, Hugues, Nash vous prenait la petite sur votre brancard.
-Oui Monsieur, réponde les fameux Hugues et Nash.
En dix minute, on fut à l’hôpital, ou l’on retrouva le docteur Meredith Huston ou aussi appelée par Bryan et moi tante Meredith. Moi j’étais à moitiée dans les vapes a cause de la morphine, mais j’entendis Bryan s’exclamer :
-Tante Meredith ! Qu’est ce qu’elle a ?
-Calme toi Bryan, je suis aussi inquiète que toi, mais je ne peux pas te dire sans même l’avoir vu.
-Tu n’a même pas une idée ?
-Non Bryan. Et je dois attendre que ton père signe des formulaires pour faire, quoi que se soit, il va arriver d’une minute a l’autre.
Je sortis de mon état de vape, et appela mon frère. Il vint en courant, et me demanda ce qui se passait.
-Reste zen, j’ai besoin de toi, pas du Bryan a moitié fous quand il est angoisser.
-OK, je me calme.
-Merci.

:heart: Chapitre 3 :heart:

Nous étions dans le bureau de tantes Meredith, papa avait l’air très inquiet, Bryan essayer sans succès de garder son calme, et moi je ne savais pas vraiment qu’elle était le sentiment que j’éprouvais, je n’arrivais pas à savoir si c’était de la peur ou de l’excitation. Je penchais plutôt pour la peur. Quand tante Meredith rentra dans le bureau, elle avait une tête a faire peur, ce qui me fila encore plus la trouille. Elle annonça :
-Kyle, Bryan, Carrie, comme vous le savez dans le sang se trouve des cellules : les globules blancs, les rouges et les plaquettes. Toutes ces cellules sont fabriquées dans les os, là où se trouve la moelle osseuse. Chacune de ces lignées cellulaires a un rôle bien particulier : les globules rouges transportent l’oxygène dans le sang, et le fait circulait dans les organes et les muscles. Les plaquettes servent à coaguler le sang quand il y a une plaie, elles font une sorte de pansement au niveau de la plaie du vaisseau sanguin pour empêcher le sang de sortir. Et les globules blancs sont de deux sortes : les polynucléaires et les lymphocytes, ils ont un rôle important pour défendre l’organisme contre toute agression extérieure, en faites un corps étranger sera « mangé » par les polynucléaires, et un virus sera attaqué par les anticorps que les lymphocytes auront sécrétés.
-Meredith, vient en au fait, demanda mon père.
-Papa, dis-je, j’ai une leucémie.
-Ne dis pas de bêtise Carrie, tu n’as pas de leucémie. Meredith, qu’est ce que ma fille a ?
Tante Meredith explosa en sanglot, Bryan aussi. Papa s’énerva, se leva et cria :
-Meredith qu’est ce que ma fille a ?
-Papa, s’exclama Bryan, Carrie te la dit, elle a une leucémie, c’est un cancer du sang.
Sous c’est mot, mon père tomba sur sa chaise les yeux écarquiller, une larme coula sur sa joue. La sœur de papa et oncle Tod était morte d’un cancer du poumon, il savait qu’une chimiothérapie était blindé d’effet secondaire et que c’était très fatiguant. Nous étions dans cette pièce, Bryan, tante Meredith et papa pleurant et moi me posant une multitude de question, quand une me vint et que je trouvai assez importante pour la posait maintenant :
-Tante Meredith, j’ai une leucémie myéloïde ou lymphoïde ?
Elle renifla, et ouvra mon dossier avant d’affirmer :
-Myéloïde, mais les traitements sont les mêmes de toute manière, une chimiothérapie, et si sa ne marche pas en dernier recours nous regarderons pour une greffe de moelle, si l’un de la famille est compatible avec toi. Et Kyle, il faudra peut-être rechercher votre tante avec qui vous n’avez jamais eu de contact. Mais d’abord la chimiothérapie, nous verrons ensuite.
Mon père renifla a son tour et regarda mon frère, puis moi, il se leva et dit :
-J’ai quelques coup de fil à passer, Carrie, il y a-t-il des personne que tu veux appeler ?
-Je le ferai moi papa, merci. Mais si tu pouvais appeler le collège, s’il te plaît.
-D’accord ma chérie.
Trente minutes passèrent durant lesquelles tante Meredith, nous expliquais a Bryan et moi, comment se passerais la chimiothérapie. Puis mon père revint et tante Meredith nous annonça que j’allais être transférais dans ma chambre ; papa avait demandé une chambre double pour que je puisse faire connaissance avec un adolescent qui avait des problèmes, comme moi. J’aimais cette idée. Quand j’arrivai dans ma nouvelle chambre une infirmière sortait de la chambre. Elle me souriait. Puis elle s’en alla. Ma tante m’annonça :
-C’était Marie Brosse, ton infirmière et celle de Léa, la jeune fille avec qui tu vas partager ta chambre.
-D’accord.
Une fois rentré dans la chambre je vis une jeune fille endormie. Je fis donc le moins de bruit possible et ma famille aussi, je tirer le rideau, et demandai assez doucement a ma tante :
-Tante Meredith, je peux téléphoner ?
D’un signe de tête, elle m’indiqua un télephone posait sur la table de chevet. Je pris mon téléphone portable, et tante Meredith me l’arracha des mains, et elle me dis :
-Alors petit un : pas de téléphone portable dans les hôpitaux, et petit deux : c’est mauvais pour ta leucémie.
-Et je fais comment pour les numéros ?
-Bon, une dernière fois mais après tu me le donne.
-Oui. Vous pouvez sortir que je sois tranquille. Je vous appelle quand j’ai fini.
Ils sortirent. Je composai le numéro de ma meilleure amie Meg. Le téléphone sonna trois fois, et j’entendis de l’autre côté du fil :
-Halo ?
-Meg ? C’est Carrie.
-Carrie ? Qu’est ce qu’il y a, tu as une voix bizarre.
-Meg, je suis à l’hôpital.
-L’hôpital ?
-J’ai une leucémie, je… Je suis à l’hôpital. Viens me voir, s’il te plaît.
-Je demande à ma mère et l’on arrive dans vingt minute.
C’était tout Meg ça, elle obtenais tout ce qu’elle voulait de sa mère. Elle avait raccroché, elle allait arriver en catastrophe. Mais j’avais d’autre personne à appeler donc je composai le numéro suivant celui de Matthieu Clark, un ami que j’avais connu par un autre ami, avec qui j’avais perdu le contact. Comme Meg, le numéro sonna trois fois, jusqu’à ce que je tomba sur sa messagerie. Comme d’habitude il ne décrocha pas. Je laissai donc un message :
-Salut Matt, c’est Carrie. Comme d’habitude tu ne décroche pas. Enfin, j’ai un gros problème. J’espère que tu pourras venir me voir. J’ai une leucémie. Tu dois croire à une blague comme je t’avais fait quand j’ai fait mon exposer sur les leucémies, mais non c’est vrai. Je suis à l’hôpital Des Blois. Viens me rendre visite, s’il te plaît, j’ai envie de parler avec toi. Bisous.
Je raccrochai. Puis j’entendis baillais. Je passai derrière le rideau, la jeune fille venez de se réveiller. Elle me vue et me demanda :
-Tu es Carrie ?
-Oui, et toi, euh…
-Moi c’est Léa.
-Enchantée.
-Pourquoi tu es hospitalisé ?
-Leucémie.
-Oh. La dernière fille qui a partager ma chambre avait une tumeur au cerveau. Elle est décédée.
-Je suis navrée.
-D’où est-ce que tu sors ? Tu parles comme… Comme une adulte.
-Je sais, on me la souvent dit, c’est ma mère qui voulait qu’on parle comme il faut.
-Voulait ?
-Elle est morte.
-Désolée.
-oh et, j’allais oublier. Pourquoi es-tu hospitalisé ?

  • Appendicite.
    -Tu vas donc sortir bientôt ?
    -Une semaine.
    -Bien.
    Mon père rentra, mon frère sur les talons. Mon père me dit :
    -Tu avais dit que tu nous appellerais quand tu aurais fini.
    -Désolé papa.
    L’infirmière arriva. Elle avait un air assez fatigué, ce qui ne l’empêcha pas de m’adresser un sourire. Elle regarda Léa et lui dit :
    -Alors Léa, ça va ?
    -Oui, merci Marie, lui répondit t’elle.
    -Monsieur Huston, j’ai deux, trois truc à dire a Carrie, j’aimerais que vous sortiez. Le docteur Mc Julian va vous prendre en charge pour vous expliquer quelques choses que le docteur Huston n’a pu vous dire.
    Mon père sortit de la salle. L’infirmière me regarda et me fit signe de m’asseoir sur le lit. Elle s’assit à côté de moi, et me dit :
    -Bien alors tu as une leucémie myéloïde, tu vas suivre une chimiothérapie puis si cela ne fonctionne pas, nous ferons des tests pour voir si tu es compatible avec un membre de ta famille, de préférence ton frère. Ensuite si nous te faisons une greffe, tu seras mise dans une chambre stérile.

:heart: Chapitre 4 :heart:

Une semaine s’était écoulée depuis mon admission à l’hôpital, tous les jours je passais deux à trois heures avec mes docteurs. Je me sentais très nauséeuse depuis le début de ma chimiothérapie. J’avais deux docteurs principaux plus tous ce qui venait me voir pour étudier mon cas. Mon premier docteur était mon cancérologue le docteur Grégoire François, mon second était ma psychologue le docteur Clarisse Mc Julian. Ils étaient tous deux très gentils. Il y avait aussi ma camarade de chambre Léa, elle ne devait passer qu’une semaine après son opération, mais elle a eu de grandes douleurs au niveau de l’estomac, ils l’avaient donc gardée en observations. J’avais aussi rencontré un garçon Mike, il était très gentil, hospitaliser pour un cancer du poumon, il nous a raconté à Léa et moi, que suite a son hospitalisation ces parents qui fumait beaucoup c’était rendu responsable et avait arrêté « cette cochonnerie » comme il l’avait dit. Je n’avais aucune nouvelle de Matthieu, mais Meg venait me voir tous les jours après les cours. J’étais souvent épuisé, mais elle me tener éveillée. Puis il y avait aussi les cours à l’hôpital, alors ça c’est juste une blague, c’était marrant, cours individuel, le professeur était tellement dupe, je disais souvent que je ne me sentais pas bien et elle me laisser tranquille en me donnant de trois exercice à faire pour le lendemain, et voilà. Il y avait aussi la perte de mes beaux cheveux alors ça sa m’avait vraiment dégoûté, depuis des années, je me les laissais pousser, je les avais enfin à la longueur que je voulais, et voilà qu’ils tombent, je n’ose même plus me passait un coup de brosse, je les perd tellement vite. Enfin, voilà une semaine que j’étais a l’hôpital, et je dormais, quand je me fis réveiller par des bruits de chuchotement je cru d’abord que Mike et Léa discuter. Je grommelai donc :
-Mike, Léa, fermait là.
Puis j’entendis une voix qui m’était familière, mais qui n’était pas celle de Mike dire :
-Bah waow, je croyais que tu me connaissais mieux depuis le CE2.
-Je me redressais et vit Antoine. Je m’exclamai :
-Antoine, t’es venu ?
-Non, non.
-Antoine.
-J’ai essayé de faire venir Alex, mais il n’a pas voulu.
-Je ne l’aime pas beaucoup Alex. Mais par contre si tu pouvais dire a Kylian que s’il a le temps de venir faire un tour, et puis dit lui de me prendre un bon film d’horreur, je déteste ça, mais je ne veux pas mourir sans en avoir vu au moins un.
Meg entra à ce moment-là, Antoine et Meg c’était vue quelques fois a mes anniversaire mais sans jamais trop se parler. Meg n’aimait pas que je dise que j’allais mourir, elle s’exclama donc :
-Carr’ tu ne vas pas mourir. Je t’interdie de dire ça.
-Meg, tu sais que c’est une possibilité.
-Carrie, je pense que Meg a raison, tu en est au début de ton traitement. Mais si tu veux, je dirais quand même a Kylian de t’emmener un film d’horreur.
-Ok.
Marie, mon infirmière rentra dans la pièce à ce moment, et dit :
-Il y a beaucoup trop de monde ici, Carrie a besoin de repos. Allez tout le monde dehors.
Meg, me dit au revoir, et Antoine aussi. Marie me fit alors m’allonger et remonta un peu mon tee-shirt pour atteindre le bout de tuyau ou il fallait en brancher un autre, pour activer la transfusion. Elle faisait donc ce qu’elle avait à faire, en brancher mes tuyaux, et me dit de dormir. Je m’endormis aussitôt. La chimiothérapie m’épuiser. Quand je me réveilla, j’entendis une voix dire :
-Et bah, ce n’est pas trop tôt.
J’étais encore dans les vapes, je me demandai qui c’était, ça ne pouvait être mon père, il serait reparti à la seconde ou il aurait vu que j’étais endormie. J’ouvris bien les yeux pour voire la personne qui était venu me rendre visite ; je vis un garçon, que je reconnus après dix seconde de réflexion :
-Matt’ ?
-J’ai hésité à te sauter dessus quand j’ai vu que tu dormais.
-Très drôle.
-Nan nan, sérieux, ça va ?
-Bof.
-C’était une question débile.
-Tu crois ?
-Oui. Sinon, j’ai croisé l’autre blaireau tout à l’heure.
-Grégoire est venu ?
-Oui.
-Contente que je dormais.
-Comment tu fais pour être amie avec lui?
-On discute de temps en temps, mais on n’est pas vraiment ami.
-Tu me rassures.
-À oui, et ce n’est pas un blaireau.
-Si si.
-Non.
-Bon, je te donne raison pour aujourd’hui on en discutera un autre jour.
-D’accord. Et il y a ma prof qui va arrivée.
-Je vais partir alors.
-Non non ne t’inquiète pas, juste quand elle te demandera de sortir ne reste pas loin il n’y en a pour dix minute, le temps que je l’expédies.
-Tu la quoi ?
-Bon, contente-toi, de ne pas partir trop loin et quand tu la vois ressortir, tu reviens.
-Ok.
Ma prof entra à ce moment-là, elle regarda Matt et lui dit :
-J’ai un cours à donner si vous voulez bien sortir s’il vous plaît.
-Bien, salut Carrie.
-Salut Matt’.
Ma prof me demanda comment j’allais et je lui dis :
-J’ai envie de vomir, c’est horrible.
-Je reviendrais demain alors. Au revoir Carrie.
-Au revoir Madame.
Une minute plus tard, Matt’ revenais dans ma chambre, Léa n’était pas la, elle était dans la salle de jeu, Matt’ avait l’air tout étonné, il me dit :
-Ouah ça a était rapide.
-Plutôt.
-Plutôt ? ta mit moins d’une seconde pour l’envoyer embêtée.
-Je sais.
-Tu es sur que t’es malade ?
-Oui.
-Tu suis quoi comme traitement ?
-Une chimiothérapie.
-Tu ne devrais pas perdre tes cheveux ?
C’était rare que je porte une perruque, mais ce jour-là, j’avais senti que c’était mieux. J’avais eu raison. Je soupirai donc, et je lui dis :
-Matt’, je porte une perruque.
Il ne répondit d’abord pas, et me dit :
-mince.
-Et oui. Tu ne te souviens pas de mes cheveux ? Il était long, et blond, et non court et noir.
-Non.
-Non ?
-Bah non je ne me souvenais pas.
-Je n’y crois pas.

  • J’y peux rien moi, je me souviens jamais de rien.
    -Je sais bien, mais à ce point la.
    -T’inquiète, quoi qui t’arrive, je me souviendrais toujours de toi.
    C’est ce moment que Meg choisit pour débouler, ils ne se connaissaient pas du tout. Et Meg dit :
    -Il ne lui arrivera rien du tout.
    -Meg…
    -Non Carr’, je dis juste à ce garçon, qui ne t’arrivera rien.
    -Carrie, c’est Meg, ta meilleure amie ?
    -Oui, c’est elle.
    -Alors Meg, tu ne devrais pas lui mettre dans la tête qui ne va rien lui arrivée, je ne veux pas qu’elle meure, mais elle a une leucémie, un cancer. Alors au lieu de lui dire qu’il ne va rien lui arrivée cherche plutôt a l’aidée a réaliser ses rêve.
    -Tu ne la connais pas, t’es juste un garçon qui est arriver comme ça, dans sa vie.
    -Mais ça on s’en fout, je dis juste que tout ce que tu fais c’est lui donner des espoirs qui sont peut-être faux.
    -Non, je lui donne la possibilité d’y croire.
    -Non, je suis pas d’accord. Si tu ne veux pas l’aidée, je le ferais.
    -Tu sais au moins quel est son rêve le plus Cher ? Devenir informaticienne, va si, dit moi comment tu veux l’aider ? J’attends. TU vois, on ne peux pas l’aider a réaliser ses rêve, elle les réalisera quand elle ira mieux. Carr’, je reviendrais quand cet imbécile sera partie.
    Elle partie, j’avais un peu peur de ce qui allait arrivé maintenant que Matt’ connaissais ma meilleure amie. Il avait l’air de réfléchir. Puis il lâcha :
    -T’es amis sont vraiment des blaireau.
    -Je t’interdis de dire ça de Meg. Elle est venue tous les soirs depuis que je suis ici, elle a toujours était là pour moi. Et toi, je t’ai attendu une semaine et demie. Alors si c’est pour dire des trucs comme ça tu peux dégager.
    -Désolé. Mais comprends-moi.
    -Il n’y a rien à comprendre, tu te dispute avec quelqu’un et tu décrètes que c’est un blaireau ? ça marche pas comme son Matt’. Faut apprendre a connaître les gens. Il faut les comprendre, il ne suffit pas de laisser passer le temps et attendre. Tu as une vision du monde débile.
    -Débile. Ouais débile.
    Il se retourna et partis, je voulus l’en empécher, mais je me dis que ce n’était pas la peine. Puis Meg rentra à son tour. Elle me regarda et me dit :
    -Quel con celui-là.
    -waow, mais vous avez quoi tous ce soir ? Fous-moi la paix Meg.

:heart: Chapitre 5 :heart:

Une semaine s’était écoulée et j’étais toujours fâchée contre Matthieu et Meg, je n’avais aucune nouvelle d’eux. J’attendais toujours mon film d’horreur. Et c’était officiel, je n’avais plus de cheveux. Mon langage était redevenu celui d’avant ma mère, un langage « normal ». Un soir, à l’heure ou d’habitude la seule personne qui était encore la c’était mon père, on frappa à ma porte. Je cria alors :
-Entre Pa’ !!
On refrappa.
-Entre !
On refrappa. Je dis alors à Léa :
-Léa tu peux aller ouvrir s’il te plaît.
-J’y vais.
Elle se leva et ouvrit la porte. J’entendis alors quelqu’un dire :
-Perdu Carr’.
-Meg ?
-Oui.
-Meg, je… Je suis désolée, pour l’autre fois… Je…
-Carr ralentie.
Je me rendis compte à ce moment que je parler assez vite, elle vint alors à côté de moi, s’assit sur mon lit et me dis :
-J’ai parlé avec Matthieu. On en a conclu que ça ne servait à rien de se disputer pour si peux, par contre il est assez vexé par ce que tu lui as dit, mais moi je comprends mais si tu veux, tu peux lui faire passez des messages par moi.
-D’accord.
Au bout d’une heure, Meg repartie. Je me mis, malgré ma fatigue, à écrire la lettre pour Matt’. Après avoir glissé, le mot dans une petite enveloppe, je m’endormie aussitôt. Quand je me réveillais, je ne compris pas ce qui se passait dans ma chambre. Beaucoup de gens s’agitaient, tournaient autour de moi. Je vis alors les parents de Léa pleurait et Mike rentra dans la chambre en criant :
-Monsieur, Madame Frange, c’est vrai ? Ce que Marie m’a dit ? Léa est… Léa est morte ?
Morte. Ce mot résonnait dans ma tête. Je n’arrivais pas a y croire. Léa était morte. D’une simple appendicite. Tout le monde lui disait que tout irait bien, alors qu’a moi tout le monde me dit que je vais mourir, mais c’est Léa qui est morte. Mike s’approcha de moi, il pleurait. Il me dit :
-Ils vont faire une autopsie, ils ne savent pas de quoi elle est morte.
-mince.
Je me levai, alla vers Monsieur et Madame Frange, je leur dis :
-Je suis désolée, j’aimais beaucoup votre fille.
-Merci Carrie me dit Monsieur Frange.
Mon père, mon frère, ma tante Meredith et mon oncle rentrèrent dans la pièce. Bryan me vit pleurait dans les bras de Mike s’approcha à la limite de la course, poussa Mike et me prit dans ces bras en me chuchotant a l’oreille :
-Marie nous as dit pour Léa, je suis désolé Carr.
-Merci Bryan.
Je passai la semaine à pleurer et dormir. Ça me convenait. Jusqu’au matin, ou quand je me réveilla, Matthieu était là. Comme il avait les yeux fermer, je cru d’abord qu’il dormait, mais quand je me leva, il rouvrit les yeux. Comme je n’avais pas remarqué qu’il avait ouvert les yeux, il m’interpella :
-Carrie.
-J’ai cru que tu dormais.
-Non. Je suis venu te dires que je déménager.
-Où ?
-Sur Paris.
Je ne dis rien. À vrai dire je ne savais pas quoi dire. Je vis alors Matt se lever et il me dit :
-Au revoir Carrie.
Il m’en voulait toujours. ça s’entendais. Je n’avais fait que lui dire se que je pensais. Pour me calmer les nerfs, je fis comme a mon habitude, j’allumai ma chaîne hi fi, et écouta le CD qu’il y avait dedans. Cette fois c’était « La lettre à Élise » de Beethoven, mon père changeait le CD une fois par semaine environ.

:heart: Chapitre 6 :heart:

Les jours passèrent à une vitesse folle. Trois semaine avait passé depuis mon admission à l’hôpital. Je passait mes journées entre les examens et la chimiothérapie qui ne faisait aucun effet. Tante Meredith commençait à s’inquiéter. Un jour, je fus convoqué avec papa dans son bureau. Elle nous annonça :
-Il faut commencer à faire des recherches pour trouver quelqu’un de compatible avec Carrie. Kyle, il faut que tu ailles faire des examens. Carrie, toi vas juste te reposer, c’est une opérations très fatigante.
Je retournée dans ma chambre, me coucha est m’endormit. Quand je me réveillai, je vis un homme, assis, dans ma chambre. Quand il vit que j’étais réveillée, il me dit :
-Bonjour, Carrie, je suis le docteur Henry Blanc. Je suis chirurgien, c’est moi qui te ferais l’opération pour te transmettre de la moelle osseuse saine.
-Excuser-moi, mais je viens de me réveillée, vous pourriez revenir dans une vingtaine de minute ?
-Oui bien sûr.
Il sortit. Je me réveillée petit à petit. Quand il revint, il avait l’air inquiet. Il m’annonça :
-Carrie, nous avons fait des examens sur ton père, ton frère, ton oncle et ta tante. Personne n’est compatible.
-J’ai aussi une tante, que mon père ne connais pas bien, mais il faut qu’il la retrouve.
On tapa à la porte a se moment la. Je dit d’entrer, je vis Kylian, rentrait dans la pièce, il me dit :
-Salut Carrie.
-Salut Kylian, ça va ?
-Je t’ai emmené ton film d’horreur que ta demandée.
-Merci.
Je vis alors le docteur se lever, il me dit :
-Bien Carrie, je vous laisse. Je reviendrais demain, on vas faire passer d’autre examens.
-Au revoir Docteur.
Kylian tint la porte au docteur. Puis il s’approcha de la télévision de la chambre, mit le DVD dans le lecteur, il me montra la boîte, je vis alors qu’il avait emmener « So 1 ». Puis il me montra qu’il avait neuf autre boite, il déclara alors :
-Les trois « Seigneur des Anneaux » et les six « Star Wars », Antoine et moi, on ne peut pas te laisser sans les avoirs vus.
-Ok, mais on commence par So.
-T’inquiète. Par contre je reviens des trois jours et tu les as tous vu.
-Kylian, je suis très fatigué en ce moment, je sais pas laisse moi au moins une semaine.
-Sept jours, ni plus ni moins.
-Tais toi ça commence.
Nous avons regardé le film jusqu’à la fin. A la fin Kylian mit le Star Wars I. Puis nous nous sommes enfilé les quatre premier. Jusqu’à ce qu’il s’en aille et que je m’endorme. Quand je me réveillai, mon père était la. Il souriait. Il me dit dès qu’il vu que j’étaie réveillée :
-Bonjour Car’, j’ai une bonne nouvelle, il s’est avéré que ton frère est compatible. Tu seras opéré vendredi, donc après-demain.
-Génial.

:heart: Épilogue :heart:

-Aïe !
-C’est bon Bryan, ont ta juste fait une piqûre.
-ça fait mal.
-On se demande qui est la chochotte de nous deux.
-ragondin malodorant petite sœur.
Nous rentrions dans le bloc opératoire. J’allais être opérée, et si cela ne marcher pas, je mourrais sûrement de ma leucémie. L’opération devait durer en moyenne une heure. Sauf que pour moi, cela dura plus longtemps, au début tout se passer bien, jusqu’à ce qu’une infirmière fit une fausse manipulations, en voulant me recoudre et m’enfonça l’aiguille de la cuisse, elle l’avait bloqué sous l’os, alors en essayant de retirer l’aiguille, elle m’ouvrit la jambe. Je perdis rapidement du sang. Le docteur Henry Blanc fit sortir l’infirmière du bloc, en lui demandant d’aller chercher un autre chirurgien, tout le monde s’affoler. Mon pou ralentis très vite. Il fallait que les docteurs se dépêchent. L’autre chirurgien arriva en courant dans le bloc, il me murmura de m’accrochée. J’essayais. Puis mon cœur s’arrêta. Les docteurs sortirent les défibrillateurs. Ils essayèrent, une fois, deux fois, trois fois, quatre fois. Le docteur Blanc, continua, mais son collègue le fit arrêter en lui disant :
-Henry, c’est trop tard.
-Je lui avais promis que tout ce passerait bien, elle aurait pu vivre. Elle n’avait que treize ans.
-Je sais.

Je m’appelais Carrie Huston. À 12 ans j’ai était atteinte d’une leucémie, et pourtant je suis morte d’une hémorragie. Avant d’entrer dans le bloc opératoire, le docteur nous avez promit a mon père, mon frère que tout se passerait bien, mais je suis morte. J’ai était pour le chirurgien Henry Blanc, la première personne a mourir sur sa table d’opérations. J’ai été la première suture qui a mal tournée d’une infirmière. J’ai été le point de départ de beaucoup de larmes, celle de mon père Kyle, mon frère Bryan, ma meilleure amie Meg, mes amis Antoine, Kylian et Matthieu. Beaucoup de gens ont pleuré de ma mort, ma famille, mes amis, même certains de mes professeurs.

Fin…

#Pauline***

Bien, bien mais pense à faire moins de dialogue et plus de… a le mot !..
Fin quand tu explique quoi.
^^

Ok, je vais revoir tout ça, merci :slight_smile:

J’adore, c’est vraiment une histoire super, vivement le prochain chapitre! :smiley:

:smiley: Hihi, demain si j’ai atteint l’objectif [:banane007:5]

Supeeeeeeer !

j’adore !!! c’est trop bien !! LA SUITE !!!
(tu as de la chance moi j’ai écrite une histoire et personne ne met de commentaire a croire que personne n’aime :cry: )

Tropppp bbiiennnnnnn !!

Moi j’aime la tienne !! :wink: continue, j’croit qu’on se connait pas mais je t’aime déjà [:salome67]

Objectif atteint :slight_smile: Chapitre 2 demain :smiley:

Chapitre 2 en ligne :wink:

trop bien !! le 3 !!

=D demain. Voire plus tard. Je sais pas, mais je suis en train de créé un site ou je vais poster toute mes fictions. Je vous enverrais le lien :wink:

SUITE!!!

=D

Mo aussi à part choupinoutte qui le fait plusieur fois et une fois c’était caméléon et love dogs and cats.

C’ est magnifique ma chérie j’ en ai pleurer , j’ aimerai bien voir la suite :slight_smile: !

Demain =) J’ai déjà fini de l’écrire, j’en suis a une autre là, d’ailleur je vais al continuée maintenant.

C’est trop bien meme si je connais toute l’histoire ! hihi

:smiley: