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il y a déjà trois million de pages pour les histoires mais ça ne m’empêche pas de faire la mienne :smiley: (je n’écris que des histoires fantastiques !)
Je me dépêche de vous donner le debut copier colle de word et c’est bon ^^

******Chapitre 1

Coincée dans ce corset, je ne ressemblais à rien d’une princesse. J’aurais pu troquer cette robe contre un sac à légumes, ma gouvernante ne sens s’aurait surement pas rendu compte ! Nous sommes le 25 novembre 1669 et c’est aujourd’hui

que  je fête mes 16ans. Mon nom est  Coleen, je suis princesse d’Angleterre descendante du roi William II et de la reine son altesse Elizabeth qui est malheureusement décédée l’an dernier. Je n’ai jamais entretenue une bonne relation avec ma mère car elle a toujours était froide en vers moi. Dés ma naissance elle me détestait déjà car elle avait eu une grossesse fatigante et avait tout fait pour garder ce qu’elle pensait être un beau garçon qui régnerait en temps voulu sur l’Angleterre. Malheureusement, quand elle apprit que l’enfant n’était pas un garçon mais une petite fille rousse au teint hâlé la souveraine me rejeta ne voulant ni me voir ni m’allaiter. Jamais je n’avais appris à aimer ma mère mais je chérissais de tout mon être mon tendre père. Depuis ma plus jeune enfance mon père avait toujours été présent pour moi, il restait mon plus grand complice. Ma mère me rejetant je fus éduquée par Mrs.Allien, ma gouvernante qui pensait que les seuls véritables moyens pour une bonne éducation étaient la discipline, l’écoute et l’obéissance. Je lui donnais -d’après mon père- beaucoup de fils à retordre. Mais pour moi, la vraie vie n’était pas celle que je vivais. Les grandes robes encombrantes, les perruques blanches et les poudres pour blanchir les belles peaux colorées, ne me plaisait guère et j’aimais à m’imaginé paysanne, capitaine à bord d’un navire, ou encore explorateur. Mais, à mon grand désespoir, je n’étais qu’une fille, destinée aux supplices des protocoles. Je sentais pourtant  en  moi  une   immense  envie  de  découverte  et d’aventure. Mais ici, ce que l’on m’apprenais  c’était à bien me tenir à table, à manier l’éventail avec grâce  ou encore  à  saluer  les  gens  d’une  manière  qui  convienne à leurs rang social et  j’en  passais  des choses inutiles avec lesquelles on me bourrait le crâne !Je me regardais une dernière fois dans le miroir de ma chambre  avant de descendre à ce grand bal donné en mon  honneur, avec comme prétexte mon anniversaire mais je savais très bien que mon père voulait me trouver un bon prince qui serai digne  de régner sur l’Angleterre. Etant donner que je suis sa fille unique, il est très  protecteur envers moi et me gâte énormément. Mais c’est surtout après le terrible accident qui a provoqué la mort de ma Mère, la Reine qu’il est devenu particulièrement  ennuyeux  et gâteux. Il m’offrait tout les jours les plus belles parures qu’il pouvait trouver, faisait  importer  d’Indes des produits rares et chères. Mais il ne comprenait pas que jamais au grand jamais je n’avais aimais ma « supposée » mère.

Mes longs cheveux roux  étaient tirés en arrière et enroulés autour d’une broche en diamant étincelants comme le voulaient les dernières modes. D’après mon père, mes cheveux sont pareils à une cascade de rubis mais la gouvernante les trouve beaucoup trop voyants. Je désespérais en voyant toutes ces étiquettes et les dernières modes  que j’étais contrainte de suivre. Pourquoi ne sais-t-on pas faire simple, ici ? Ma peau naturellement dorée était atténuée par une poudre de résine blanchâtre et Mrs.Allien m’avait collé une mouche sur le côté de mon œil  gauche  soit disant que cela faisait ressortir mes yeux sombres de chat. Ma robe était bleue-argentée, je l’avais choisi la plus simple possible mais ici, simple était apparemment un mot inconnu au beau monde. Toutes ces garnitures, ces rubans, ces nœud, ces broches de diamants ! Mrs.Allien proférait sans cesse que l’héritière d’Angleterre devait absolument être remarquable à un bal donner en son honneur.

Les dames de la cour me détestaient car, déjà je suis princesse d’Angleterre et que j’ai tout ce que je veux mais je ne demande jamais rien. Enfin  si, je demande des livres, lire c’est ma passion. Quand j’ai appris à lire, j’ai tellement aimé que mon père ma offert une immense bibliothèque dont je suis la seule à détenir les clés. Je mis réfugie souvent dans mes moments perdus pour lire des romans. D’ailleurs j’y cache un rescapé  d’un navire en provenance d’un pays lointain  qui a fait naufrage sur une plage. Mais attention, ce n’ai pas un simple naufragé, c’est un ouistiti d’environ une vingtaine de centimètres. Il s’appelle  Jack. C’est mon meilleur ami, je lui parle de tout. Je l’ai dressé et maintenant   il sait faire plein de choses. Souvent, quand un livre est trop haut et que mon échelle ne peux l’atteindre il monte à ma place et me le rapporte. Personne n’est au courant, c’est mon secret.

« Princesse Coleen, puis-je entrée ? M’interpella Mary, ma servante.                                                                                                     _ Oui, qui a-t-il ? Répondis-je                                                                     _ Votre entrée a été repoussé car beaucoup d’invités ne sont pas encore présent. Elle baissa les yeux en regardant ces miséreux souliers usés à force d’être traîner d’un bout à l’autre du palais.                                       
_ Bien, merci Mary, tu peux te retirer maintenant, lui dis-je gentiment.       Elle partit sans demander son reste. J’aimais bien Mary, son visage enfantin et son regard innocent, elle était toujours la pour m’écouter mais trop timide pour dire un mot.

A peine  eu-t-elle fermé la porte que je me précipitai vers ma coiffeuse, ouvris un tiroir, soulevai le double fond et en sortis un magnifique sabre. Cette arme avait appartenu  à mon ancêtre qui était un corsaire. Comme j’aurai  aimé vivre sa vie ! Il a voyagé aux quatre coins du monde pendant toute son existence à traverser des déserts, rencontrer d’autre peuple, vécu avec d’autre culture ! J’observais longuement  le sabre. Sa  lame  étincelait   tellement que je voyais dedans mon parfait  reflet. Le manche  est  serti de  pierre précieuse et  il était gravé quelque chose dans une langue qui m’était  inconnue.

Je  fis  trois  petit  mouvement  de  parade  et  rengainer  mon  arme dans un passant de ma culotte. Quand il y a de grande occasion comme celle-ci je préférais toujours l’avoir sur moi   et puis j’avais trafiqué l’ouverture de ma robe pour pouvoir l’enlever rapidement. Dessous, je mis ma tenue d’escrimeuses que mon oncle m’avait offerte malgré les interdictions de mon père. Elle avait été taillé dans un tissus souple et léger qui épousait le moindre de mes mouvement.

Ca y’est. Le moment le plus redouté de toute mon existence était arrivé. Descendre les marches avec grâce, en souriant à tout ces gens que je ne connaissais pas. Je vis la fine main de Mary se tendre vers moi  pour prendre la mienne et me guider jusqu’au portes de l’enfer. Je la regardais d’ un ère de dire « Suis-je vraiment obligée d’y aller ? » et comme si elle avait lu en moi Mary hocha la tête positivement. Je détournai mon regard du sien et commençai à approché la rambarde. Je respirais longuement et ouvris les yeux sur cette foule de gens qui avait le regard fixé sur moi. Ma main droite se détacha de la rampe pour aller se poser nerveusement sur ma robe. Je me concentrais sur la fluidité et la grâce de mes gestes et surtout la dessante de ces marches. Je leur souris avec le plus de crédibilité que possible. Je sentis ma main se crispé sous l’effet de la pression. Un silence de mort régnait sur l’assemblée des perruques blanches. J’eu l’impression qu’ils étaient convaincus par ma démarche hésitante. Alors, je fis quelque chose que je n’aurai certainement pas du faire : j’accélérai mon allure. C’était la goutte de trop, mon pied se pris dans ma longue robe, je perdis l’équilibre à quatre marche de la fin et tombait dans les bras de ma gouvernante ; Mrs.Allien. Son regard sévère pesait sur moi comme le regard d’une mère fâchée pèse sur un enfant fautif.Je baissai le regard. Puis comme si de rien était, elle me releva la tête et nous continuons de marcher jusqu’au Roi. Elle me guida à travers la foule qui s’écartait sur notre passage sans dire un mot. Les gens me regardaient avec dédains mais je faisais mine de ne pas les voir. Quand nous arrivâmes à mon père la gouvernante me laissa continuer toute seule et s’inclina devant le Roi. J’avançais de trois pas de plus qu’elle, comme le voulait le protocole pour montrer ma supériorité. Je fis la révérence et mon Père m’ordonna de me relever.

Il se leva de son trône et clama son discours :                           
 « Aujourd’hui est un grand jour pour nous tous, voilà maintenant seize ans que ma fille tant chérie, La Princesse Coleen, né du sein de sa mère La Reine Elizabeth IV, est née. Des murmures parcoururent l’assemblé car le Roi détestait parler de sa tendre épouse, morte à présent. Célébrons ce grand jour comme il se doit, repris mon père, en faisant honneur à La Princesse Coleen. »     L’assemblé acclama le discours du Monarque et un chambellan hurla dans toute la salle de balle :                                                                  « Son Altesse, La Princesse Coleen, va maintenant ouvrir le bal avec son cavalier ; le prince héritier de Portsmouth. »                                            Le Prince Paul était le cavalier que m’avait choisi ma gouvernante parmi les nombreuses demandes reçu. Elle m’avait vanté son charme et son charisme mais se garda bien de me dire que ce prince ferait un bon parti. Les invités créèrent un immense cercle où je rejoignis le prince.      Les archets commencèrent à danser sur les violons quand nous nous fîmes la révérence protocolaire. Je remarquai que le prince avait une certaine aisance avec les pas de danses mais je me débrouillais très bien aussi et je n’étais pas le moins impressionnée. Il n’y avait aucun bruit dans la salle, seul celui de cette musique répétitive demeurait. Je détaillais longuement mon cavalier. Il portait sur sa petite tête commune, une de ces perruques blanches qui sont, parait-il, à la mode. Ces yeux ternes était de couleur gris-fatigué et son regard demeurait vaniteux. Son nez droit collé de près sa bouche fine et rose. Son teint pâle n’était pas vraiment original. Ce prince était commun à toutes ces personnes ici présentes. Non, vraiment, il n’était pas pour moi. Ce moment pénible sembla durer une éternité. Au bout d’un certain temps, les invités se joignirent à notre danse. Je fis semblant d’entendre ma gouvernante m’appeler et délaisser mon prince au beau milieu de son élément. Je courus au balcon pour prendre une bouffée d’aire avant de retourner dans cette foule de gens. Soudain une folle envie me prenait : partir, partir de ce bal, les laisser le temps de cette soirée, personne ne s’en rendrait compte. Je vérifiais si personne ne pouvait me voir et sautais du balcon pour atterrir dans un bosquet de roses blanches un bout de ma robe se déchira et resta attachée dans le rosier. Je me déshabillai pour me retrouver en légère tenue d’escrime. Je cachai ma robe derrière un buisson et courrai. Courrai sans m’arrêter, pour sentir cette sensation interdite ; la Liberté. Je détachai mes cheveux et les laissés vogué à leurs guise dans le vent. Mes mains touchaient tout les éléments pour s’imprégner de leur touché. Un instant suffit pour me faire comprendre que je n’étais pas seule. Je me cachais derrière un gros chêne et observai la scène ; deux jeunes hommes se battaient en duel. A en croire à leurs rires bruyants, s’était un duel amical. Je voulu me joindre à eux mais me rappelai à tant que j’étais encore maquillée. Je pris de la terre, et en frottai mon visage. Puis, je me levai et couru dans leur direction. Au moment où le plus jeune allait frapper son camarade de jeux, je dégainai mon épée et me joignis à eux. Surpris de voir quelqu’un, qui plus est une jeune femme, s’ajoutai sans crier égard à leur combat, ils s’arrêtèrent de jouer. Je feignis alors une attaque à gauche et les trios repris alors son cour. Pour la première fois de ma vie on me traitait en égal, je me sentais acceptée et appréciée sans même savoir qui ils étaient. Je détaillais mes adversaires pendant mon jeu, le plus jeune avait de long cheveux bruns tressés, un menton carré, le sourire aux lèvres, il combattait avec forces alors que le second élaborait plus tôt des techniques. Je paradais, frappais, esquivais et eux faisaient de même, jamais je ne m’étais autant amusée de toute ma vie entière. Au bout d’une demi-heure d’efforts et d’acharnements, nous tombâmes de fatigues.                             
 « Vous….vous…….vous bâtez …… Très bien…… souffla le plus jeune entre deux respirations, mon nom est Dunkell, et voici mon ami ; le comte  Brook. Enchanté Lady … ?                                                            N’ayant aucune envie de leur révélé ma véritable identité je leur mentie.                                                                                                _ Redd, tout le plaisir est pour moi.                                                          _ Pardonné mon impertinence Redd, mais qu’es qu’une jeune fille comme vous fait à cette heure si, en tenue d’escrime et en dehors de chez elle, me questionna t-il.                                            
 _ Je me promenais, en en ayant assez des corvées quotidiennes. Rétorquai-je.                                                                                Brook sortit d’une poche interne de son manteau, une petite gourde transparente qui contenait un liquide jaunâtre. Le flacon était clos par un bouchon en liège qui était scellé par de la cire rouge-sang. Le comte déboucha la petite bouteille et en but goulument deux gorgées puis tendit le reste à son ami. Je regardai le flacon se vider rapidement. Le contenu m’intéressait et m’intriguait. Je tendis la main dans la direction de Dunkell avant qu’il ne soit trop tard. Les deux amis se regardèrent, et finalement il me donna une petite gorgée. Jamais de ma vie je n’avais sentie dans ma bouche plus curieuse sensation. Ce divin liquide me brûlait la bouche, mais me rendait pratiquement dépendante de lui en une petite gorgée, son gout était exquis ; un mélange de poire et d’anis mais quelque chose soulevé ces deux parfums et me piquetait agréablement la bouche. Je rendis le contenant vide à son propriétaire. Ils passèrent tout le reste de la soirée à me conter leurs vies plus palpitantes l’une que l’autre. Brook était capitaine de l’armée sud-est de l’Angleterre. Il vivait  à Liverpool avec sa femme et ses deux enfants. Dunkell, lui, avait hérité du poste de capitaine de la marine après la mort de son père. Il réquisitionnait des marchandises d’Afrique pour les vendre à Cuba et autres îles des caraïbes.
          Soudain, alors que nous étions tout les trois étendues dans l’herbe humide, j’entendis des pas et des petits craquements de feuilles mortes. J’intimais aux autres de se terrent et tendis l’oreille. A ce moment là, cinq hommes surgirent des arbres et nous encerclèrent. Je reconnus leurs uniformes ; ceux des soldats de mon père. Il avait donc remarquait mon absence.                        
 _ Princesse Coleen, nous avons ordre de vous ramenez au palais. Hurla le chef de ce groupe de soldat.
Mes deux nouveau compagnons se regardèrent avec grand étonement. La fille qui avait combattu avec eux,celle qui avait bu à même la bouteille et celle qui était allongée avec eux dans l’herbe était la princesse d’Angleterre. Je n’osais plus les regardais en face. Je me levai lentement et avançais vers
les gardes. Ils me sèsirent pas les avant-bras et avancèrent en direction du palais. Je me retournais une dernière fois vers me amis, leurs aires ébahies et étonnes me firent presque rire.

Chapitre 2
   A mon arrivée au château, touts les invites etaient partis et la salle était vide . Je vis mon père assis sur son trône le regard perdu, le visage pâle comme un navet et les ongles rongés jusqu’au sang. Derrière lui,ma gouvernante qui elle était plus tôt rouge de rage. Ses sourcils froncés cachaient presque ses yeux noirs persants qui me terrorisaient. Ses poing étaient serrés et ses bras croisés sur sa poitrine. Je connaissais par cœur la correction qui m attendait dans mes appartement." Une princesse qui plus est celle d’Angleterre doit convenablement se tenir. S’enfuir est la pire chose que vous puissiez faire car vous faite honte a votre royal famille et vous humilliez votre père devant tout le beau monde d’Angleterre! " En attendant ces reprimendes, j’avais le droit aux inquiétudes de mon père. Cela faisait trois heures et demi qu’il se faisait un sang d’encre et il avait envoyé toutes les troupes de soldats encore ici pour me trouver. Il pensait que les ennemis m’avaient pris en otage pour demander une renson ou des services. Quand il me demanda où avais passé ma soirée je ne sus quoi lui répondre. Je lui racontai alors que après avoir longuement danser avec le Prince de porthsmouth, j’avais eu la folle idée d’aller me promener pour prendre un peu d’air frai mais je n’avais pas vu le temps passé. Mon père me crue et m’encercla de ses grands bras. Apres quoi il mencoya dans ma chambre.**

J’aurai besoin de vos conseils et encouragement car je comptais la messer tomber

C’est bien! :slight_smile: ^^ j’attends la suite!

Je pense que tu aurais eu un peu plus de succès si tu n’avais pas tout posté en même temps. J’aurais voulu lire, mais la taille du texte est vraiment décourageante, désolée…

pareil !

J’ai lu le tier, j’aime beaucoup ! :wink:
Moi aussi j’essaie d’écrire des « romans », mais tu y arrive mieux que moi xD
Tu as quel âge ?

moi j’essai et après je relie et j’éfface tous … !

Pareil x)

Ca a pas l’air comme ça, mais écrire une histoire potable c’est vraiment hyper difficile ><

Moi j’écris juste quelques textes, et pour l’instant je crois que seules Ladyjane, Purday-Woman et… Non, je crois que c’est tout, je ne me souviens plus de qui a lu quoi, mais on les compte sur une seule main.

moi le mien s’apelle piégé dans la m5

Ouai dsl pour avoir tout mît Dun seul coup si vs voulez je vous le remet XD non mais bon j’ai fait copier collet sa trainer dans mes notes la flemme de tout detache :wink:

xDD

Il y a quelques fautes d’ortographe et d’autres dont je ne sais pas le nom. Sinon, l’histoire est bonne. Continue! J’ai hâte de lire la suite.

P.S: J’ai tout lu… :smiley:

Okbmerci je me dépêche décrire la suite

Bon je sais j’écris un an après.
J’ai lu le texte, je trouve que c’est très bien, mais déjà vu ; il faut encore faire des efforts sur la façon de faire les phrases, ect…
Bon courage quand même !!
La suite est pour quand ?? :smiley:

Je mise sur jamais.

je vais tous lire!alors…

Et voila!soit je lis un texte en entier soit je ne le lis pas du tout,mais c’est vrai que tu aurait du le mettre par petit bout,parceque si ce n’étais pas aussi intéréssant ca serait dur de tous lire d’un coup! :smiley:
Maintenant j’écris un paragraphe pour te dire ce qui allait et ce qui n’allais pas celon moi,c’est parti…(désolé de devoir faire un triple poste)

[QUOTE=lou42, post:2, topic:25526]

******Chapitre 1

Les dames de la cour me détestaient car, déjà je suis princesse d’Angleterre et que j’ai tout ce que je veux mais je ne demande jamais rien. Enfin  si, je demande des livres, lire c’est ma passion. Quand j’ai appris à lire, j’ai tellement aimé que mon père ma offert une immense bibliothèque dont je suis la seule à détenir les clés. Je mis réfugie souvent dans mes moments perdus pour lire des romans D’ailleurs j’y cache un rescapé d’un navire en provenance d’un pays lointain qui a fait naufrage sur une plage. Mais attention, ce n’ai pas un simple naufragé, c’est un ouistiti d’environ une vingtaine de centimètres. Il s’appelle Jack. C’est mon meilleur ami, je lui parle de tout. Je l’ai dressé et maintenant il sait faire plein de choses. Souvent, quand un livre est trop haut et que mon échelle ne peux l’atteindre il monte à ma place et me le rapporte. Personne n’est au courant, c’est mon secret.              « Princesse Coleen, puis-je entrée ? M’interpella Mary, ma servante.                                                                                                     _ Oui, qui a-t-il ? Répondis-je                                                                     _ Votre entrée a été repoussé car beaucoup d’invités ne sont pas encore présent. Elle baissa les yeux en regardant ces miséreux souliers usés à force d’être traîner d’un bout à l’autre du palais.                                       
_ Bien, merci Mary, tu peux te retirer maintenant, lui dis-je gentiment.       Elle partit sans demander son reste. J’aimais bien Mary, son visage enfantin et son regard innocent, elle était toujours la pour m’écouter mais trop timide pour dire un mot.

A peine  eu-t-elle fermé la porte que je me précipitai vers ma coiffeuse, ouvris un tiroir, soulevai le double fond et en sortis un magnifique sabre. Cette arme avait appartenu  à mon ancêtre qui était un corsaire. Comme j’aurai  aimé vivre sa vie ! Il a voyagé aux quatre coins du monde pendant toute son existence à traverser des déserts, rencontrer d’autre peuple, vécu avec d’autre culture ! J’observais longuement  le sabre. Sa  lame  étincelait   tellement que je voyais dedans mon parfait  reflet. Le manche  est  serti de  pierre précieuse et  il était gravé quelque chose dans une langue qui m’était  inconnue.

Je  fis  trois  petit  mouvement  de  parade  et  rengainer  mon  arme dans un passant de ma culotte. Quand il y a de grande occasion comme celle-ci je préférais toujours l’avoir sur moi   et puis j’avais trafiqué l’ouverture de ma robe pour pouvoir l’enlever rapidement. Dessous, je mis ma tenue d’escrimeuses que mon oncle m’avait offerte malgré les interdictions de mon père. Elle avait été taillé dans un tissus souple et léger qui épousait le moindre de mes mouvement.

Il se leva de son trône et clama son discours :                           
 je dégainai mon épée et me joignis à eux. Surpris de voir quelqu’un, qui plus est une jeune femme, s’ajoutai sans crier égard à leur combat, ils s’arrêtèrent de jouer. Je feignis alors une attaque à gauche et les trios repris alors son cour. Pour la première fois de ma vie on me traitait en égal, je me sentais acceptée et appréciée sans même savoir qui ils étaient. Je détaillais mes adversaires pendant mon jeu, le plus jeune avait de long cheveux bruns tressés, un menton carré, le sourire aux lèvres, il combattait avec forces alors que le second élaborait plus tôt des techniques. Je paradais, frappais, esquivais et eux faisaient de même, jamais je ne m’étais autant amusée de toute ma vie entière. Au bout d’une demi-heure d’efforts et d’acharnements, nous tombâmes de fatigues.                             
 « Vous….vous…….vous bâtez …… Très bien…… souffla le plus jeune entre deux respirations, mon nom est Dunkell, et voici mon ami ; le comte  Brook. Enchanté Lady … ?                                                            N’ayant aucune envie de leur révélé ma véritable identité je leur mentie.                                                                                                _ Redd, tout le plaisir est pour moi.                                                          _ Pardonné mon impertinence Redd, mais qu’es qu’une jeune fille comme vous fait à cette heure si, en tenue d’escrime et en dehors de chez elle, me questionna t-il.                                            
 _ Je me promenais, en en ayant assez des corvées quotidiennes. Rétorquai-je.                                                                                Brook sortit d’une poche interne de son manteau, une petite gourde transparente qui contenait un liquide jaunâtre. Le flacon était clos par un bouchon en liège qui était scellé par de la cire rouge-sang. Le comte déboucha la petite bouteille et en but goulument deux gorgées puis tendit le reste à son ami. Je regardai le flacon se vider rapidement. Le contenu m’intéressait et m’intriguait. Je tendis la main dans la direction de Dunkell avant qu’il ne soit trop tard. Les deux amis se regardèrent, et finalement il me donna une petite gorgée. Jamais de ma vie je n’avais sentie dans ma bouche plus curieuse sensation. Ce divin liquide me brûlait la bouche, mais me rendait pratiquement dépendante de lui en une petite gorgée, son gout était exquis ; un mélange de poire et d’anis mais quelque chose soulevé ces deux parfums et me piquetait agréablement la bouche. Je rendis le contenant vide à son propriétaire. Ils passèrent tout le reste de la soirée à me conter leurs vies plus palpitantes l’une que l’autre. Brook était capitaine de l’armée sud-est de l’Angleterre. Il vivait  à Liverpool avec sa femme et ses deux enfants. Dunkell, lui, avait hérité du poste de capitaine de la marine après la mort de son père. Il réquisitionnait des marchandises d’Afrique pour les vendre à Cuba et autres îles des caraïbes.
          Soudain, alors que nous étions tout les trois étendues dans l’herbe humide, j’entendis des pas et des petits craquements de feuilles mortes. J’intimais aux autres de se terrent et tendis l’oreille. A ce moment là, cinq hommes surgirent des arbres et nous encerclèrent. Je reconnus leurs uniformes ; ceux des soldats de mon père. Il avait donc remarquait mon absence.                        
 _ Princesse Coleen, nous avons ordre de vous ramenez au palais. Hurla le chef de ce groupe de soldat.
Mes deux nouveau compagnons se regardèrent avec grand étonement. La fille qui avait combattu avec eux,celle qui avait bu à même la bouteille et celle qui était allongée avec eux dans l’herbe était la princesse d’Angleterre. Je n’osais plus les regardais en face. Je me levai lentement et avançais vers
les gardes. Ils me sèsirent pas les avant-bras et avancèrent en direction du palais. Je me retournais une dernière fois vers me amis, leurs aires ébahies et étonnes me firent presque rire.

au sujet du singe,c’est beaucoup trop court,la princesse d’Angletterre cache un ouistiti dans une bybliothéque!!!explique plus en détail quand elle l’a trouvé comment elle a fait pour le cacher,tu sait ce qui serait marrant?Quelque anécdote sur les fois ou le singe a failli se faire prendre,tu vois ce que je veut dire!explique aussi ou il dort comment la princesse fait pour le nourrir bref étoffe moi l’histoire de ce singe!cette histoire parle d’une princesse qui s’ennuie au chateau c’est trés bien,mais un des éléments qui peuvent faire décollez cette histoire,c’est le singe.C’est pour ca que tu doit plus insisiter sur lui,tu ne lui donne pas assez d’importance je pense.A part ca;la gouvernante hyper sévére,le roi devenu amer depuis la mort de son épouse,les prétendants, [:zed-vdc:3] n’abandonne pas cette histoire!le scénario me semble trés bon,de plus tu a démontré qu’elle avait des talents pour l’excrime,elle le fait qu’elle s’enfuit du bal rend la choses plus intéréssante,vraiment!quelqun d’autre ce serait contenté d’en faire une soirée ennuiyeuse ou la princesse pense qu’elle en a marre de tout ca,tu a réussi à faire bien plus!au sujet de ce qui est en vert,ca ne concorde pas avec son language habituel,essaiye de dire ca autrement.Voila j’ai fini,dans l’ensemble je trouve cette histoire trés bien,les fautes d’orthographe mis a part biensur,tu a un bon scénario je te conseille de ne pas abandonner maintenant vraiment !!!a j’ai failli oublier,au sujet du liquide que la princesse boit,tu à réussi à bien exprimer que la princesse ne savait pas ce ue c’étais et les sentiments que la boisson lui procurer,ca aussi c’est trés bien.Ho et comment sait-elle que le sabre lui vient d’un ancétre corsaire?Elle est d’une lignée royale et il y aurait eu un grand papy corsaire qui se proméne???Je ne dit pas que c’est un détail à enlever mais,je ne sait pas explique ca quoi,met quelquechoses comme que c’est un noble qui en a eu marre du protocole,comme elle et qu’il s’est enfuit pour devenir corsaire,cédant ainsi le trone à son jeune frère et sombrant dans l’oubli car il fait honte à la famille,c’est l’oncle qui n’a pas peur de le dire qui le lui à dit et elle rêve de partir à l’aventure,comme lui,mais elle est l’unique héritiére ca compliue les choses et blablabla c’est ton histoire.En plus tu a dit qu’elle rêvait d’être pirate là ele pourrait penser à ce fameux ancétre,bon aprés tu fait comme tu veut je vais pas tout te macher,mais juste,un corsaire dans la lignée royale ca fait bizarre.Je ne m’étandrait pas sur l’époque ou tu à fait l’histoire,l’histoire des vrai monarque de cette époque ext parceque je suis nul en histoire,et cette histoire est imaginaire donc on s’en fiche.J’éspére qu’elle reverra les deux jeune hommes avec qui elle s’est battu tot ou tard,et je trouve que tu tient une bonne histoire,voila maintenant j’ai vraiment fini